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Les contes d'Alérion
9 juillet 2008

J'ai rêvé,

Ce matin, j’ai rêvé,

J’ai rêvé et j’ai pleuré.

Ma main cherchait ta main,

Seule dans la fête j’étais perdue

Loin de toi je ne te voyais plu,

Je t’ai cherché en vain.

Dans une grande salle enfin

Je t’ai vu, est  ma vie a pris fin !

Dans ses bras, de plaisir tu jubilais,

Et je sentais mon sang se glacer,

Et ma vie loin de moi se détacher .

Plus je  regardais,  plus je sentais

Ton  bien être, ta sérénité se  reflétais

Sur  ton visage  qui  souriait.

Alors ton regard croisa le mien

Et je compris que tu n’étais plus mien.

Pour toujours  et à jamais  je te perdais,

Le conte de fée de ma vie se  terminait .

Il ne me restait plus rien de cette  belle idylle ,

Et sans toi la vie n’est que vétille !

Alors doucement je suis parti

Le cœur brisé et en charpie,

Les larmes en coulant, furtivement emmenaient  ma vie.

Je  la sentais impassiblement  glisser et  me quitter .

Et, promptement je me suis réveillé ,

Le cœur effaré et le visage par les larmes dévasté.

Très vite, j’ai réalisé et repris pied,

Ce n’était qu’un simple rêve et non la réalité,

Tu étais toujours présent à mes cotés,

Et ma vie restait  assurément  un conte de fée !

Ce matin j’avais  rêvé  et j’ai pleuré …

AURELANNE

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